Nous publions rarement des considérations d'anthroposophie générale, mais après avoir publié les 4 premières conférences du volume 73 des œuvres complètes où Rudolf Steiner indique qu'il a, après trente années de travail, fait récemment un pas significatif dans ses recherches, il est intéressant de constater qu'il réédite alors aussi son œuvre philosophique initiale en en soulignant un aspect.
Voici qui temporise l'idée fort répandue par qui s'intercale, parfois sans s'en rendre compte parce que non-libre soi-même, que s'en tenir avec lui aux ouvrages de base, serait le fin mot de la la chose alors qu'il la poursuit, l'améliore, la "relativise". Bref nous aide à la comprendre correctement et que 1917/1918 est bien un tournant méconnu dans son apport, celui où justement il commence à parler sur un mode suscitant l'autonomie de l'individu à la société.
Enjeu toujours actuel, y compris dans notre mouvement, et l'auteur le perçoit aussi.
Voici qui temporise l'idée fort répandue par qui s'intercale, parfois sans s'en rendre compte parce que non-libre soi-même, que s'en tenir avec lui aux ouvrages de base, serait le fin mot de la la chose alors qu'il la poursuit, l'améliore, la "relativise". Bref nous aide à la comprendre correctement et que 1917/1918 est bien un tournant méconnu dans son apport, celui où justement il commence à parler sur un mode suscitant l'autonomie de l'individu à la société.
Enjeu toujours actuel, y compris dans notre mouvement, et l'auteur le perçoit aussi.
Sur la nécessité d’une nouvelle édition de la Philosophie
de la liberté en 1918
Karl-Julius Reubke
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