dimanche 23 juin 2013

La fiscalité chez Rudolf Steiner


Les déclarations de Rudolf Steiner sont souvent réduites à une préférence pour l'impôt sur les dépenses par rapport à l'impôt sur le revenu. Mais même si la plupart des objections à l'impôt sur la consommation sont plutôt naïves, on n’a pas le droit d’oublier d'autre part, que Rudolf Steiner traite de la question des impôts comme jamais dissociée de la question de la transformation de l'économie. Et maint de ce qui sonne tout d’abord comme un impôt, se révèle à un examen plus approfondi être compensations entre les entreprises, donc comme de simples instruments d'une vie économique auto administrée, ou comme Rudolf Steiner l’appelle lui-même, associative. Ceci s'applique aussi et surtout à l’ainsi nommé impôt sur les dépenses, qui n'a donc rien à voir avec la Taxe sur la Valeur Ajoutée d'aujourd'hui.
Sylvain Coiplet 

par Ulrich Piel