Les déclarations de Rudolf Steiner sont souvent réduites à une
préférence pour l'impôt sur les dépenses par rapport à l'impôt sur le revenu. Mais même si la plupart des objections
à l'impôt sur la consommation sont plutôt naïves, on n’a pas le droit d’oublier
d'autre part, que Rudolf Steiner traite de la question des impôts comme jamais
dissociée de la question de la transformation de l'économie. Et maint de ce qui sonne tout d’abord
comme un impôt, se révèle à un examen plus approfondi être compensations entre
les entreprises, donc comme de simples instruments d'une vie économique auto
administrée, ou comme Rudolf Steiner l’appelle lui-même, associative. Ceci s'applique aussi et surtout à l’ainsi
nommé impôt sur les dépenses, qui n'a donc rien à voir avec la Taxe
sur la Valeur
Ajoutée d'aujourd'hui.
Sylvain Coiplet
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